Le mois de carême, censé être une occasion pour mettre davantage l’accent sur la propreté, est devenu l’une des périodes où l’insalubrité des marchés, qui sont très fréquentés par les consommateurs, connaît également des pics. Des odeurs nauséabondes qui provoquent des hauts le cœur vous “accueillent” à l’entrée et vous guident vers des bacs à ordures débordant de toute part avec des sacs éventrés jetés à même le sol.
LE CADRE DE VIE SE DéGRADE AU QUOTIDIEN
De nouveaux comportements, pour le moins incompréhensibles, sont apparus dans les cités et la rue. On dirait que tout le monde partage ce sentiment d’indifférence devant la saleté.
Depuis plus d’une quinzaine d’années, Oran n’arrive plus à se débarrasser, convenablement, de ses ordures ménagères, qui lui collent à la peau comme une sangsue. Du coup, El-Bahia a perdu de son charme et de son statut de ville méditerranéenne.
Le mois de carême, censé être une occasion pour mettre davantage l’accent sur la propreté, est devenu l’une des périodes où l’insalubrité des marchés, qui sont très fréquentés par les consommateurs, connaît également des pics. Des odeurs nauséabondes qui provoquent des hauts le cœur vous “accueillent” à l’entrée et vous guident vers des bacs à ordures débordant de toute part avec des sacs éventrés jetés à même le sol.