L’Algérie est assise sur un volcan selon un commentaire de l’ambassadeur des Etats-Unis en Algérie révélé par Wikileaks.
Abdool Rahman a suggéré que le représentant des Etats-Unis à l’ONU pourrait obtenir une copie du rapport de la mission en prenant attache directement avec le Bureau du secrétaire général des Nations unies. » L’Algérie sur un « volcan » En guise de conclusion, David D. Pearce s’interroge sur la manière avec laquelle le gouvernement algérien comptait « légitimer » un tel taux de participation. Le diplomate, qui reprend un commentaire d’un des membres de la mission de l’ONU, estime que « l’Algérie est assise sur un volcan ». En fait, Pearce ne fait que confirmer le constat établi en 2007 par son prédécesseur, Robert Ford, dans un autre câble diplomatique rendu public hier par WikiLeaks. « Les discussions récentes avec d’anciens responsables gouvernementaux, des leaders de l’opposition et des journalistes présentent un régime plus fragile que jamais. Un régime en proie à un manque de vision, à une corruption sans précédent et à une division au sein de la hiérarchie militaire », écrivait alors Robert Ford.
http://www.algerie-dz.com/article19172.html
Abdool Rahman a suggéré que le représentant des Etats-Unis à l’ONU pourrait obtenir une copie du rapport de la mission en prenant attache directement avec le Bureau du secrétaire général des Nations unies. » L’Algérie sur un « volcan » En guise de conclusion, David D. Pearce s’interroge sur la manière avec laquelle le gouvernement algérien comptait « légitimer » un tel taux de participation. Le diplomate, qui reprend un commentaire d’un des membres de la mission de l’ONU, estime que « l’Algérie est assise sur un volcan ». En fait, Pearce ne fait que confirmer le constat établi en 2007 par son prédécesseur, Robert Ford, dans un autre câble diplomatique rendu public hier par WikiLeaks. « Les discussions récentes avec d’anciens responsables gouvernementaux, des leaders de l’opposition et des journalistes présentent un régime plus fragile que jamais. Un régime en proie à un manque de vision, à une corruption sans précédent et à une division au sein de la hiérarchie militaire », écrivait alors Robert Ford.
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