Je vous salue et vous remercie en mon nom personnel et au nom de toute notre famille pour votre travail inlassable de défense de la mémoire du président Houari Boumediène. Permettez-moi de m’introduire brièvement à vous. Je m’appelle Boukharouba Noureddine, PhD en physique nucléaire expérimentale, de mon état enseignant de physique à l’université de Guelma. Je dois dire que j’ai du mal à reconnaître les Algériens et l’Algérie depuis mon retour au pays après une absence qui a duré une vingtaine d’années.
Houari Boumediène était plus que mon oncle paternel. Il était mon père adoptif qui m’avait élevé de ma tendre enfance jusqu’à son décès. Il m’est donc très pénible de constater la haine et la désinformation dont il est la cible de la part de gens qui, pourtant, avaient bénéficié par le passé de sa mansuétude et de sa grandeur d’âme. Il était bien seul mon cher oncle. Aujourd’hui, nul parmi ses anciens compagnons officiels et ex-officiels ne se lève en défense de sa mémoire, même ceux qui avaient bâti leur devenir sur le socle de sa popularité posthume auprès des petites gens, eux qui n’ont toujours pas oublié ce qu’il a fait pour eux. Cela montre la valeur intrinsèque de ces ex-révolutionnaires socialistes qui brillent par leur reniement, leurs petites trahisons et leur métamorphose néocapitaliste. Bien malheureuse est notre chère patrie l’Algérie. Elle mérite mieux. Merci pour tous vos efforts et votre loyauté. En espérant vous lire très prochainement, je vous salue.
Que Dieu vous protège.
N. Boukharouba
Houari Boumediène était plus que mon oncle paternel. Il était mon père adoptif qui m’avait élevé de ma tendre enfance jusqu’à son décès. Il m’est donc très pénible de constater la haine et la désinformation dont il est la cible de la part de gens qui, pourtant, avaient bénéficié par le passé de sa mansuétude et de sa grandeur d’âme. Il était bien seul mon cher oncle. Aujourd’hui, nul parmi ses anciens compagnons officiels et ex-officiels ne se lève en défense de sa mémoire, même ceux qui avaient bâti leur devenir sur le socle de sa popularité posthume auprès des petites gens, eux qui n’ont toujours pas oublié ce qu’il a fait pour eux. Cela montre la valeur intrinsèque de ces ex-révolutionnaires socialistes qui brillent par leur reniement, leurs petites trahisons et leur métamorphose néocapitaliste. Bien malheureuse est notre chère patrie l’Algérie. Elle mérite mieux. Merci pour tous vos efforts et votre loyauté. En espérant vous lire très prochainement, je vous salue.
Que Dieu vous protège.
N. Boukharouba