Depuis quelques mois, la circulation est devenue infernale sur plusieurs axes routiers du pays, notamment à proximité d’Alger.Les automobilistes mettent en cause les barrages de police et de gendarmerie installés sur l’autoroute entre Alger et la wilaya de Boumerdès.
Tous les jours, des bouchons s'étendent sur plusieurs kilomètres à proximité de ces points de contrôle. Toutes les voies sont occupées par des voitures, poids-lourds, autocars. La bande d'arrêt d'urgence et l'accotement sont bloqués. Aucune issue possible pour les ambulances et la protection civile. Automobilistes et passagers sont excédés et ne comprennent pas l'utilité de ces barrages fixes installés sur l'autoroute, sans aucune mesure de sécurité. Entre Alger et Boumerdes, quatre barrages fixes , il faudra parfois trois longues heures. Le bouchon du célèbre et impopulaire barrage de gendarmerie de Reghaia s'étend souvent sur plusieurs kilomètres de la gendarmerie rendent la circulation impossible sur l'autoroute de l'Est, seul axe routier reliant la capitale à l'est du pays. A chaque barrage, les automobilistes patientent en moyenne plus de 30 minutes, souvent plus.
Les véhicules roulent sur tout ce qui est carrossable. Tout le monde cherche à quitter le barrage rapidement. Si quelqu’un transporte un malade dans un état grave, il aura peu de chances d’arriver à l’hôpital rapidement .
Au niveau des barrages, c’est également le comportement des gendarmes qui surprend. Souvent, ce sont deux gendarmes qui assurent le contrôle de milliers de véhicules. Régulièrement, ils ont l’air distraits ou en conversation, ou se contentent de regarder sommairement les véhicules et les passagers. Parfois, ils détournent carrément leurs regards et se mettent à discuter, têtes baissées. Parfois, les automobilistes pris dans le piège du barrage assistent au passage d’un convoi officiel qui accentue leur ressentiment à l’égard des autorités et des forces de sécurité.
Dans ce contexte, beaucoup d’automobilistes et d’usager des transports en commun s'interrogent sur le rôle exact de ces points de contrôle. Sont-ils destinésà bloquer et freiner la circulation routière ou pour contrôler réellement les gens et sécuriser la capitale ?
Tous les jours, des bouchons s'étendent sur plusieurs kilomètres à proximité de ces points de contrôle. Toutes les voies sont occupées par des voitures, poids-lourds, autocars. La bande d'arrêt d'urgence et l'accotement sont bloqués. Aucune issue possible pour les ambulances et la protection civile. Automobilistes et passagers sont excédés et ne comprennent pas l'utilité de ces barrages fixes installés sur l'autoroute, sans aucune mesure de sécurité. Entre Alger et Boumerdes, quatre barrages fixes , il faudra parfois trois longues heures. Le bouchon du célèbre et impopulaire barrage de gendarmerie de Reghaia s'étend souvent sur plusieurs kilomètres de la gendarmerie rendent la circulation impossible sur l'autoroute de l'Est, seul axe routier reliant la capitale à l'est du pays. A chaque barrage, les automobilistes patientent en moyenne plus de 30 minutes, souvent plus.
Les véhicules roulent sur tout ce qui est carrossable. Tout le monde cherche à quitter le barrage rapidement. Si quelqu’un transporte un malade dans un état grave, il aura peu de chances d’arriver à l’hôpital rapidement .
Au niveau des barrages, c’est également le comportement des gendarmes qui surprend. Souvent, ce sont deux gendarmes qui assurent le contrôle de milliers de véhicules. Régulièrement, ils ont l’air distraits ou en conversation, ou se contentent de regarder sommairement les véhicules et les passagers. Parfois, ils détournent carrément leurs regards et se mettent à discuter, têtes baissées. Parfois, les automobilistes pris dans le piège du barrage assistent au passage d’un convoi officiel qui accentue leur ressentiment à l’égard des autorités et des forces de sécurité.
Dans ce contexte, beaucoup d’automobilistes et d’usager des transports en commun s'interrogent sur le rôle exact de ces points de contrôle. Sont-ils destinésà bloquer et freiner la circulation routière ou pour contrôler réellement les gens et sécuriser la capitale ?