Bonjour tous le monde,
Je viens de tomber sur un article (qui reprend un commentaire je crois), très intéressant. en l’occurrence, cela concerne la pomme de terre, mais ne serait-ce pas le cas pour d'autres denrées alimentaires ?
J'y apprends notamment, que grosso-modo "... les décideurs préfèrent les importations à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale"
Voici un extrait de l'article:
"Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?
Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?
Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin ou camelin de n’importe quelle wilaya?
Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques) ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?
Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?
Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire (un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?"
http://paysansdalgerie.wordpress.com/2012/03/19/50-ans-apresla-pomme-de-terre-a-100-da/
Qu'en est-il du lait, du pain, des légumes secs, et autres produits de première nécessite ?
On est vite tentés de prendre un raccourci logique, celui de penser que décideurs et importateurs ne font qu'un !!
Homer
Je viens de tomber sur un article (qui reprend un commentaire je crois), très intéressant. en l’occurrence, cela concerne la pomme de terre, mais ne serait-ce pas le cas pour d'autres denrées alimentaires ?
J'y apprends notamment, que grosso-modo "... les décideurs préfèrent les importations à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale"
Voici un extrait de l'article:
"Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?
Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?
Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin ou camelin de n’importe quelle wilaya?
Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques) ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?
Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?
Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire (un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?"
http://paysansdalgerie.wordpress.com/2012/03/19/50-ans-apresla-pomme-de-terre-a-100-da/
Qu'en est-il du lait, du pain, des légumes secs, et autres produits de première nécessite ?
On est vite tentés de prendre un raccourci logique, celui de penser que décideurs et importateurs ne font qu'un !!
Homer