salut
Plusieurs centaines d’Algériens se sont rassemblés dimanche près des frontières maroco-algériennes, en face du centre de Sidi Abed, localité de Sidi Boubker qui dépend de la province d’Oujda, pour demander l’ouverture des frontières entre les deux pays.
Les manifestants qui brandissaient les drapeaux algérien et marocain et des portraits du Roi Mohammed VI, demandaient l’ouverture des frontières entre les deux pays voisins menaçant de les traverser vers le Maroc en cas de refus des autorités algériennes, rapporte le quotidien algérien Al Khabar.
Les autorités algériennes, qui surveillaient de près les manifestants, ne sont intervenus à aucun moment pour les disperser.
Alors que les bruits couraient sur l’ouverture imminente des frontières entre le Maroc et l’Algérie, Mourad Medelci, ministre algérien des Affaires étrangères, a affirmé mardi que cette question n’était pas à l’ordre du jour.
Les frontières maroco-algériennes sont fermées depuis 1994, suite aux attentats d’Atlas Asni à Marrakech. En juin dernier déjà, le journal "Le Monde" nous apprenait que cette fermeture coûtait chaque année 2 points de croissance au Maghreb.
Plusieurs centaines d’Algériens se sont rassemblés dimanche près des frontières maroco-algériennes, en face du centre de Sidi Abed, localité de Sidi Boubker qui dépend de la province d’Oujda, pour demander l’ouverture des frontières entre les deux pays.
Les manifestants qui brandissaient les drapeaux algérien et marocain et des portraits du Roi Mohammed VI, demandaient l’ouverture des frontières entre les deux pays voisins menaçant de les traverser vers le Maroc en cas de refus des autorités algériennes, rapporte le quotidien algérien Al Khabar.
Les autorités algériennes, qui surveillaient de près les manifestants, ne sont intervenus à aucun moment pour les disperser.
Alors que les bruits couraient sur l’ouverture imminente des frontières entre le Maroc et l’Algérie, Mourad Medelci, ministre algérien des Affaires étrangères, a affirmé mardi que cette question n’était pas à l’ordre du jour.
Les frontières maroco-algériennes sont fermées depuis 1994, suite aux attentats d’Atlas Asni à Marrakech. En juin dernier déjà, le journal "Le Monde" nous apprenait que cette fermeture coûtait chaque année 2 points de croissance au Maghreb.