salut
Comme il fallait s’y attendre, la bonne saison oléicole n’a pas tardé à se répercuter sur les prix de vente de l’huile. Les ménages commencent à ressentir avec satisfaction cette baisse qui s’annonce des plus avantageuses.
Le prix du litre d’huile d’olive vient de baisser de pas moins de cinquante dinars en l’espace de quelques jours.
Affiché à quatre cent dinars la semaine dernière, il est vendu à trois cents cinquante, ce mardi, au marché hebdomadaire de Aïn El Hammam. Les commerçants ambulants venant de Takerbouzt et de Tazmalt, spécialisés dans le produit, deviennent de plus en plus nombreux au fil des jours. La concurrence bat son plein au grand bonheur des clients qui ont l’avantage de choisir la qualité et le prix.
Au niveau des pressoirs de la région, où nous nous sommes rendus, l’espace manque pour le stockage des olives. Malgré un renforcement en ouvriers, le service dure jusque tard dans la nuit. «Il y a longtemps que nous n’avons pas vu pareille récolte», indique un propriétaire d’huilerie. Cependant, les paysans ont une tout autre optique du marché, refusant pour le moment de se soumettre à la loi de l’offre et de la demande.
«Le travail des champs, particulièrement le ramassage des olives, est éprouvant et de longue haleine. Il nécessite des sacrifices en temps et en énergie. Je ne peux brader le produit de ma sueur à n’importe quel prix», estime un journalier qui a pris un congé spécialement pour la saison. Son avis est partagé par de nombreux propriétaires d’olivaies, qui espèrent terminer la récolte des olives avec de substantiels dividendes.
Ils seront nombreux cette année, à avoir des rentes dépassant les mille litres d’huile et même à trois cents dinars le litre, les rentrées d’argent seront appréciables.
Cependant, ils ne peuvent se permettre de stocker le fruit de leur travail jusqu’à l’année prochaine, car contrairement à certains produits qui deviennent meilleurs en vieillissant, l’huile d’olive stockée, devient âcre et laisse un goût acide dans la gorge, au fil des années.
Source:Dépêche de Kabylie
Comme il fallait s’y attendre, la bonne saison oléicole n’a pas tardé à se répercuter sur les prix de vente de l’huile. Les ménages commencent à ressentir avec satisfaction cette baisse qui s’annonce des plus avantageuses.
Le prix du litre d’huile d’olive vient de baisser de pas moins de cinquante dinars en l’espace de quelques jours.
Affiché à quatre cent dinars la semaine dernière, il est vendu à trois cents cinquante, ce mardi, au marché hebdomadaire de Aïn El Hammam. Les commerçants ambulants venant de Takerbouzt et de Tazmalt, spécialisés dans le produit, deviennent de plus en plus nombreux au fil des jours. La concurrence bat son plein au grand bonheur des clients qui ont l’avantage de choisir la qualité et le prix.
Au niveau des pressoirs de la région, où nous nous sommes rendus, l’espace manque pour le stockage des olives. Malgré un renforcement en ouvriers, le service dure jusque tard dans la nuit. «Il y a longtemps que nous n’avons pas vu pareille récolte», indique un propriétaire d’huilerie. Cependant, les paysans ont une tout autre optique du marché, refusant pour le moment de se soumettre à la loi de l’offre et de la demande.
«Le travail des champs, particulièrement le ramassage des olives, est éprouvant et de longue haleine. Il nécessite des sacrifices en temps et en énergie. Je ne peux brader le produit de ma sueur à n’importe quel prix», estime un journalier qui a pris un congé spécialement pour la saison. Son avis est partagé par de nombreux propriétaires d’olivaies, qui espèrent terminer la récolte des olives avec de substantiels dividendes.
Ils seront nombreux cette année, à avoir des rentes dépassant les mille litres d’huile et même à trois cents dinars le litre, les rentrées d’argent seront appréciables.
Cependant, ils ne peuvent se permettre de stocker le fruit de leur travail jusqu’à l’année prochaine, car contrairement à certains produits qui deviennent meilleurs en vieillissant, l’huile d’olive stockée, devient âcre et laisse un goût acide dans la gorge, au fil des années.
Source:Dépêche de Kabylie