Les postes de la Protection civile et de la Gendarmerie nationale réduits à néant
La population de Tigzirt a été réveillée hier matin vers 6h30, par l’explosion, à la plage Thassalast, d’une bombe. L’engin explosif fort puissant, était destiné à détruire les postes de la Protection civile et de la Gendarmerie nationale, construits en préfabriqué et utilisés uniquement durant la saison estivale. Après une accalmie d’un mois et demi, les terroristes renouent avec leurs actions machiavéliques.
Le dernier attentat dans la région remonte au 2 mars dernier, lorsque la caserne de la BMPJ et une patrouille de l’ANP ont été la cible de quatre tirs de hab-hab qui ont fait deux blessés graves, un militaire et un civil. Tout porte à croire que l’attentat de ce mardi a été perpétré par les sanguinaires d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), juste pour rappeler aux citoyens et aux services de sécurité leur présence dans la région.La déflagration a été tellement forte que des débris d’aluminium, de bois et de tôle ont été éjectés à des centaines de mètres à la ronde. Certains fragments sont même tombés au niveau du port de la ville, distant de quelque 500 mètres du lieu de l’explosion. Ce n’est pas la première fois qu’un attentat à la bombe est perpétré à la plage Thassalast. Durant l’été 2008, une patrouille de la Gendarmerie nationale avait été victime d’un attentat à la bombe faisant un mort et 2 blessés graves. Une chose est sûre, malgré les coups portés par les services de sécurité à ces criminels à la solde de Ben Laden, leur capacité de nuisance est restée presque intacte.
K. B.
Lesoirdalgerie.com
La population de Tigzirt a été réveillée hier matin vers 6h30, par l’explosion, à la plage Thassalast, d’une bombe. L’engin explosif fort puissant, était destiné à détruire les postes de la Protection civile et de la Gendarmerie nationale, construits en préfabriqué et utilisés uniquement durant la saison estivale. Après une accalmie d’un mois et demi, les terroristes renouent avec leurs actions machiavéliques.
Le dernier attentat dans la région remonte au 2 mars dernier, lorsque la caserne de la BMPJ et une patrouille de l’ANP ont été la cible de quatre tirs de hab-hab qui ont fait deux blessés graves, un militaire et un civil. Tout porte à croire que l’attentat de ce mardi a été perpétré par les sanguinaires d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), juste pour rappeler aux citoyens et aux services de sécurité leur présence dans la région.La déflagration a été tellement forte que des débris d’aluminium, de bois et de tôle ont été éjectés à des centaines de mètres à la ronde. Certains fragments sont même tombés au niveau du port de la ville, distant de quelque 500 mètres du lieu de l’explosion. Ce n’est pas la première fois qu’un attentat à la bombe est perpétré à la plage Thassalast. Durant l’été 2008, une patrouille de la Gendarmerie nationale avait été victime d’un attentat à la bombe faisant un mort et 2 blessés graves. Une chose est sûre, malgré les coups portés par les services de sécurité à ces criminels à la solde de Ben Laden, leur capacité de nuisance est restée presque intacte.
K. B.
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