par salut
Naufrage du «Costa Concordia» en Italie avec plus de 3000 voyageurs à bord,2 Algériens parmi les passagers
Le paquebot comptait plus d’un millier de marins.
Deux Algériens et un Marocain se trouveraient parmi les passagers du «Costa Concordia» qui a fait naufrage dans la nuit de vendredi à samedi après l’échouage au large de la Toscane (centre de l’Italie) d’un paquebot italien avec plus de 3000 passagers, dont de nombreux touristes étrangers et un millier de (1013) marins à bord.
Six personnes sont mortes et quatre portées disparues ainsi qu’une quarantaine de blessées sont à déplorer dans cet accident maritime qui serait dû, apparemment, au heurt d’un rocher près de l’île du Giglio alors que les passagers étaient en train de dîner. Dans l’affolement qui s’en est ensuivi, des passagers ont sauté dans l’eau glacée dans un mouvement de panique décrit par une journaliste passagère, Mara Parmegiani, conforme à celui du Titanic.
L’armateur (Costa Crociere-Costa croisières) a communiqué hier la nationalité des touristes à bord du Costa Concordia qui sont composés en majorité d’Italiens, d’Allemands et Français.
Selon Costa Crociere, parmi les 3.216 passagers, deux sont Algériens et un autre Marocain. Parmi les plus nombreux passagers, on recense 989 Italiens, 569 Allemands, 462 Français, 177 Espagnols et 129 Américains, 108 Russes, 74 Autrichiens, 60 Suisses, 46 Brésiliens et 46 Japonais…
Le navire, long de 290 mètres, était parti de «Savone pour une croisière en Méditerranée, avec des escales prévues à Civitavecchia, Palerme, Cagliari, Palma de Majorque, Barcelone et Marseille.Le navire Costa Concordia était considéré comme un véritable «temple du divertissement» avec ses 58 suites avec balcons, cinq restaurants, 13 bars, cinq «jacuzzis» et quatre piscines. Le bâtiment venait de quitter le port de Civitavecchia, près de Rome, lorsqu’il a rencontré des difficultés. Des unités des garde-côtes et d’autres bateaux notamment des ferries assurant la liaison entre la côte toscane et l’île de Giglio se sont aussitôt rendus dans la zone du sinistre pour participer à l’évacuation des passagers et de l’équipage.
Le maire de Giglio, Sergio Ortelli, s’est efforcé d’accueillir de son mieux les naufragés sur sa petite île. «Nous essayons de les installer où nous le pouvons, dans des écoles, des garderies, des hôtels, n’importe où sous un toit» a-t-il déclaré.
Naufrage du «Costa Concordia» en Italie avec plus de 3000 voyageurs à bord,2 Algériens parmi les passagers
Le paquebot comptait plus d’un millier de marins.
Deux Algériens et un Marocain se trouveraient parmi les passagers du «Costa Concordia» qui a fait naufrage dans la nuit de vendredi à samedi après l’échouage au large de la Toscane (centre de l’Italie) d’un paquebot italien avec plus de 3000 passagers, dont de nombreux touristes étrangers et un millier de (1013) marins à bord.
Six personnes sont mortes et quatre portées disparues ainsi qu’une quarantaine de blessées sont à déplorer dans cet accident maritime qui serait dû, apparemment, au heurt d’un rocher près de l’île du Giglio alors que les passagers étaient en train de dîner. Dans l’affolement qui s’en est ensuivi, des passagers ont sauté dans l’eau glacée dans un mouvement de panique décrit par une journaliste passagère, Mara Parmegiani, conforme à celui du Titanic.
L’armateur (Costa Crociere-Costa croisières) a communiqué hier la nationalité des touristes à bord du Costa Concordia qui sont composés en majorité d’Italiens, d’Allemands et Français.
Selon Costa Crociere, parmi les 3.216 passagers, deux sont Algériens et un autre Marocain. Parmi les plus nombreux passagers, on recense 989 Italiens, 569 Allemands, 462 Français, 177 Espagnols et 129 Américains, 108 Russes, 74 Autrichiens, 60 Suisses, 46 Brésiliens et 46 Japonais…
Le navire, long de 290 mètres, était parti de «Savone pour une croisière en Méditerranée, avec des escales prévues à Civitavecchia, Palerme, Cagliari, Palma de Majorque, Barcelone et Marseille.Le navire Costa Concordia était considéré comme un véritable «temple du divertissement» avec ses 58 suites avec balcons, cinq restaurants, 13 bars, cinq «jacuzzis» et quatre piscines. Le bâtiment venait de quitter le port de Civitavecchia, près de Rome, lorsqu’il a rencontré des difficultés. Des unités des garde-côtes et d’autres bateaux notamment des ferries assurant la liaison entre la côte toscane et l’île de Giglio se sont aussitôt rendus dans la zone du sinistre pour participer à l’évacuation des passagers et de l’équipage.
Le maire de Giglio, Sergio Ortelli, s’est efforcé d’accueillir de son mieux les naufragés sur sa petite île. «Nous essayons de les installer où nous le pouvons, dans des écoles, des garderies, des hôtels, n’importe où sous un toit» a-t-il déclaré.
