Le président FFS de l’APC de Ouaguenoun (Tizi Ouzou) a été empêché, lundi 22 février, de quitter l’aéroport d’Alger pour se rendre à Rotterdam. Ali Belkheir devait rejoindre les Pays-Bas pour assister au 7ème Forum de l’Alliance Mondiale des Villes contre la Pauvreté qui se tiendra du 24 au 26 février 2010 dans le cadre du Programme des Nations Unies pour le Développement.
Le 14 décembre dernier, la demande de sortie formulée par l’élu FFS avait été rejetée par le wali de Tizi- Ouzou. Selon une nouvelle mesure, les maires et leurs adjoints doivent obtenir une autorisation préalable du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour se rendre dans un cadre officiel à l’étranger pour y participer à des activités politiques, culturelles ou économiques.
Lundi, le Front des Forces Socialistes (FFS) dénonce cette interdiction et prend à témoins les instances internationales sur cette atteinte aux libertés politique. Le parti de Hocine Aït Ahmed dénonce, dans un communiqué, la volonté du pouvoir d’empêcher toute ouverture politique, économique et culturelle du pays. Il confirme sa tendance archaïque de sous développement politique et culturel.
"Dans un contexte mondial de crises multiples ; de changement climatique, énergétique, alimentaire et de l’eau et au lieu d’encourager la formation de l’élite locale qui aura la responsabilité de mener des actions au niveau local pour faire face au défi de la pauvreté, le pouvoir continu de soumettre le pays aux interdits, à la violence et à l’opacité", précise le communiqué du FFS.
Le 14 décembre dernier, la demande de sortie formulée par l’élu FFS avait été rejetée par le wali de Tizi- Ouzou. Selon une nouvelle mesure, les maires et leurs adjoints doivent obtenir une autorisation préalable du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour se rendre dans un cadre officiel à l’étranger pour y participer à des activités politiques, culturelles ou économiques.
Lundi, le Front des Forces Socialistes (FFS) dénonce cette interdiction et prend à témoins les instances internationales sur cette atteinte aux libertés politique. Le parti de Hocine Aït Ahmed dénonce, dans un communiqué, la volonté du pouvoir d’empêcher toute ouverture politique, économique et culturelle du pays. Il confirme sa tendance archaïque de sous développement politique et culturel.
"Dans un contexte mondial de crises multiples ; de changement climatique, énergétique, alimentaire et de l’eau et au lieu d’encourager la formation de l’élite locale qui aura la responsabilité de mener des actions au niveau local pour faire face au défi de la pauvreté, le pouvoir continu de soumettre le pays aux interdits, à la violence et à l’opacité", précise le communiqué du FFS.