transformation du plastique en pétrole
L’heure est aux énergies renouvelables et aux idées novatrices pour nous rendre un monde plus propre.
Dans cette quête du développement durable, nous trouvons les éoliennes, les panneaux photo-voltaïques, les usines de méthanisation…
Il existe désormais un procédé de transformation du plastique en pétrole (l’inverse de la fabrication).
Le principe est simple : une machine spécialement conçue pour cela fait fondre les déchets plastiques. Puis les gaz issus de cette opération sont refroidis et distille une « huile » qui peut devenir du diesel ou de l’essence.
Cette alchimie moderne peut paraitre à première vue miraculeuse. Nous imaginons déjà voir disparaitre tous ces déchets plastiques pour finalement rouler à moindre frais tout en réduisant notre empreinte carbone.
Mais cette valorisation ne peut pas s’appliquer de manière systématique. Le recyclage des matières plastiques pour obtenir d’autres objets plastiques reste d’actualité. Il est plus rapide et plus économe en énergie.
Transformer le plastique en pétrole devient pertinent lorsque les besoins locaux en énergie fossile sont supérieurs aux besoins en biens de consommations et que les filières de recyclage de ces derniers n’existent pas. Nous pensons alors aux pays en voie de développement.
Une question reste sans une réponse claire : quel est le rapport énergie dépensée pendant l’opération/énergie potentielle du pétrole récolté. Le procédé ne devrait pas consommer plus que ce qu’il ne produit.
L’heure est aux énergies renouvelables et aux idées novatrices pour nous rendre un monde plus propre.
Dans cette quête du développement durable, nous trouvons les éoliennes, les panneaux photo-voltaïques, les usines de méthanisation…
Il existe désormais un procédé de transformation du plastique en pétrole (l’inverse de la fabrication).
Le principe est simple : une machine spécialement conçue pour cela fait fondre les déchets plastiques. Puis les gaz issus de cette opération sont refroidis et distille une « huile » qui peut devenir du diesel ou de l’essence.
Cette alchimie moderne peut paraitre à première vue miraculeuse. Nous imaginons déjà voir disparaitre tous ces déchets plastiques pour finalement rouler à moindre frais tout en réduisant notre empreinte carbone.
Mais cette valorisation ne peut pas s’appliquer de manière systématique. Le recyclage des matières plastiques pour obtenir d’autres objets plastiques reste d’actualité. Il est plus rapide et plus économe en énergie.
Transformer le plastique en pétrole devient pertinent lorsque les besoins locaux en énergie fossile sont supérieurs aux besoins en biens de consommations et que les filières de recyclage de ces derniers n’existent pas. Nous pensons alors aux pays en voie de développement.
Une question reste sans une réponse claire : quel est le rapport énergie dépensée pendant l’opération/énergie potentielle du pétrole récolté. Le procédé ne devrait pas consommer plus que ce qu’il ne produit.