Salut
Plusieurs dizaines de jeunes ont organisé un sit-in devant le ministère du Travail, de l’emploi et de la sécurité sociale pour dénoncer leurs conditions de vie et exiger un travail. Ils se sont rassemblés à l’appel de la coordination des chômeurs du sud du pays et d’un collectif de journalistes cachetiers licenciés de radio El Bahdja. Un député du RCD était également présent sur place pour apporter son soutien et celui de son parti aux manifestants.
Les jeunes, venus de plusieurs wilayas du pays (Ouargla, Laghouat, Chlef…) ont été durement malmenés par les forces de l’ordre venues en grand nombre encercler le bâtiment situé rue Belouizdad, à Belcourt.
Certains ont été tabassés et d’autres ont été interpellés avant d’être relâchés. Les protestataires ont délégué quatre représentants pour rencontrer des responsables du ministère. Ceux restés devant le portail du département de Tayeb Louh ont scandé plusieurs slogans comme « One, two, three où va l’Algérie ? », «Où sont les responsables du scandale Sonatrach ? » « Donnez-nous du travail ! ». Certains ont reproché à des entreprises pétrolières du Sud de ne pas recruter la main d’œuvre locale. « Nous revendiquons une allocation chômage de 50 % du SNMG », ont-ils lancé. Le Salaire national minimum garanti (SNMG) est actuellement fixé à 15.000 dinars.
Vers 13 heures, un jeune a tenté de s’immoler. Il a pris un bidon d’essence avant de lancer : « je vais m’immoler. Celui qui veut me rejoindre peut venir ! ». Mais les policiers et les autres manifestants ont réussi à l’empêcher de passer à l’acte.
Une délégation composée de quatre personnes a été reçue par un responsable du ministère. A leur sortie, vers 13 h 15, ils ont indiqué n’avoir reçu aucune promesse de la part du ministère. Il s’agissait en fait d’un premier contact.
tsa-algerie.com
Plusieurs dizaines de jeunes ont organisé un sit-in devant le ministère du Travail, de l’emploi et de la sécurité sociale pour dénoncer leurs conditions de vie et exiger un travail. Ils se sont rassemblés à l’appel de la coordination des chômeurs du sud du pays et d’un collectif de journalistes cachetiers licenciés de radio El Bahdja. Un député du RCD était également présent sur place pour apporter son soutien et celui de son parti aux manifestants.
Les jeunes, venus de plusieurs wilayas du pays (Ouargla, Laghouat, Chlef…) ont été durement malmenés par les forces de l’ordre venues en grand nombre encercler le bâtiment situé rue Belouizdad, à Belcourt.
Certains ont été tabassés et d’autres ont été interpellés avant d’être relâchés. Les protestataires ont délégué quatre représentants pour rencontrer des responsables du ministère. Ceux restés devant le portail du département de Tayeb Louh ont scandé plusieurs slogans comme « One, two, three où va l’Algérie ? », «Où sont les responsables du scandale Sonatrach ? » « Donnez-nous du travail ! ». Certains ont reproché à des entreprises pétrolières du Sud de ne pas recruter la main d’œuvre locale. « Nous revendiquons une allocation chômage de 50 % du SNMG », ont-ils lancé. Le Salaire national minimum garanti (SNMG) est actuellement fixé à 15.000 dinars.
Vers 13 heures, un jeune a tenté de s’immoler. Il a pris un bidon d’essence avant de lancer : « je vais m’immoler. Celui qui veut me rejoindre peut venir ! ». Mais les policiers et les autres manifestants ont réussi à l’empêcher de passer à l’acte.
Une délégation composée de quatre personnes a été reçue par un responsable du ministère. A leur sortie, vers 13 h 15, ils ont indiqué n’avoir reçu aucune promesse de la part du ministère. Il s’agissait en fait d’un premier contact.
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