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    jean ziegler deputé suisse

    dellyssien
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    Nombre de messages : 91
    Date d'inscription : 06/07/2010

    jean ziegler deputé suisse Empty jean ziegler deputé suisse

    Message par dellyssien Lun 8 Nov - 19:05

    jean ziegler ce deputé suisse qui avait revelé l'existence de fortune de richisme homme d'état algérien dans les banques suisses, argent et fortunes qui appartienne a l'état Algérien detourné selon lui dans les banques suisses et ou des buildings ausi était la propriété des haut placés algérien ?????



    Les généraux algériens qui ont fait partie du “groupe des décideurs”, et ceux qui continuent de diriger le pays ainsi que d’autres barons du régime, ont profité des années de sang pour se constituer des fortunes colossales, évalués à des dizaines de milliards de dollars et qui ont été “exfiltrées” vers des paradis bancaires. Cette oligarchie de voleurs et d’assassins continue de piiller le patrimoine de la nation, et envisage même de faire main basse sur les ressources hydrocarbures du pays. Monsieur Jean Ziegler, un grand ami du peuple algérien, n’a cessé de les dénoncer. Voici un de ses nombreux articles sur la junte que nous livrons à nos lecteurs.

    Cet article est toujours d’actualité a paru en octobre 1997 à Charlie Hebdo

    LES NABABS DU LAC LEMAN

    Pour Jean ZIEGLER, député suisse spécialiste des banques, les généraux corrompus engraissent leurs comptes numérotés grâce aux vieux réseaux de financement de la guerre d’Algérie.

    Les centaines de victimes de massacres de Raïs et de Ben Talha ne risquent pas de chagriner les militaires : par leur mort, elles contribuent au maintien de la rente pétrolière des généraux algériens, déposée majoritairement dans les banques de Genève. Depuis plus de cinq ans, depuis le coup d’Etat militaire de janvier 1992, le sanglant chaos organisé par les tueurs islamistes (certains de leurs officiers traitant au sein des services secrets algériens) sert admirablement la stratégie des généraux : aussi longtemps que, dans la Mitidjia, la banlieue d’Alger ou en Kabylie, les femmes, les hommes et les enfants sont égorgés par les émirs du GIA, personne ne parlera d’élections libres. Elections que les généraux seraient certains de perdre. Et avec elles les faramineux profits qu’ils tirent mensuellement des revenus du gaz et du pétrole.
    A Genève, des rues entières appartiennent aujourd’hui, par le truchement de sociétés immobilières par actions (qui garantissent l’anonymat des propriétaires réels), à des généraux et des directeurs de sociétés d’Etat de la pétrochimie algériens. D’immenses fortunes prospèrent sur les comptes numérotés algériens. A Berne, un général Algérien - Abdelmalek Guenaizia - occupe l’ambassade. Il veille sur la bonne marche des transferts. Certains diplomates algériens se sont même fait rappeler à l’ordre par le département (Suisse) des Affaires étrangères : ils passent leur temps à fonder des sociétés écrans au Liechtenstein. Ce qui n’est pas exactement une activité classique de diplomate.

    Pourquoi Genève ? D’abord parce que Genève est une des grandes places financières de la planète offrant des services compétents et discrets. Les banquiers privés de la place sont habitués à organiser l’accueil des butins de la corruption. Ensuite, entre Genève et les Algériens, il existe une longue histoire : durant la guerre d’indépendance (1954-1962), Genève avait été l’arrière-base financière du FLN. La Banque Arabe SA (tombée plus tard entre les mains de Guenoud, l’exécuteur testamentaire de Goebbels) avait été fondée par Mohamed Khider, trésorier du FLN.

    La plus grande partie de la diaspora algérienne en France à, durant toute la guerre, versé annuellement des millions de francs dans les caisses du FLN. Depuis Genève, ces millions ont permis d’acheter des armes, de financer l’infrastructure sociale, politique, diplomatique du FLN, plus tard du gouvernement provisoire. Ben Bella, Hocine Aït ahmed, d’autres dirigeants historiques, ont négocié en 1962 dans les environs immédiats de Genève - à Evian, au Signal de Bougie, dans d’autres lieux encore - avec Joxe et De Leusse la liberté de leur patrie.

    Inutile de dire que les dirigeants historiques ont été des hommes profondément honnêtes : Lebjaoui, Aït Ahmed, Ben Bella ont eu des relations suivies avec les banquiers genevois dans l’intérêt exclusif de leur mouvement de libération, plus tard, de leur Etat. Avec le coup d’Etat militaire de 1965 contre le gouvernement Ben Bella, la situation a radicalement changé. Khider a été assassiné à Madrid par les sbires de Boumediene. Lebdjaoui et beaucoup d’autres ont choisit l’exil permanent. Ben Bella a disparu en prison pour quinze ans. Mais les réseaux discrets du financement, les structures d’accueil complexes de capitaux clandestins étaient en place. Ces réseaux, ces structures servent - surtout depuis l’avènement au pouvoir du général Chadli, et plus nettement encore depuis le coup d’Etat de janvier 1992 - les corrompus algériens de tout poils.
    Même les députés conservateurs suisses s’en étonnent : jamais jusqu’à ce jour le gouvernement algérien n’a déposé la moindre requête en entraide judiciaire internationale pour récupérer ne serait-ce qu’une modeste partie de ce butin sanglant volé au peuple algérien.


    Par Jean ZIEGLER
    dellyssien
    dellyssien


    Nombre de messages : 91
    Date d'inscription : 06/07/2010

    jean ziegler deputé suisse Empty Re: jean ziegler deputé suisse

    Message par dellyssien Lun 8 Nov - 19:18

    J’ai oublié de vous donner le lien concernant l’article en question
    http://abdoumenfloyd.centerblog.net/5097883-L-OR-DES-GENERAUX-ALGERIENS-PLANQUE-EN-SUISSE

    Un autre article de Mr Ziegler
    http://www.elwatan.com/weekend/enaparte/jean-ziegler-il-est-de-l-interet-de-l-occident-d-affaiblir-l-algerie-05-11-2010-97658_180.php
    Salutations,

    ________________________________________




    Jean Ziegler sur l’Algérie" : plus important qu'il ne semble !

    Date: Lundi 8 novembre 2010, 15h14


    Jean Ziegler : "Il est de l’intérêt de l’Occident d’affaiblir l’Algérie"
    par Madjid El Djazairi, vendredi 5 novembre 2010, à 15:21

    -Selon vous, l’Algérie a échappé à la mainmise du capitalisme mondial. Comment ?
    Je suis frappé de la permanence des principes en Algérie contenus dans la plateforme de la Soumam de 1956. Ces mêmes principes se retrouvent dans la politique étrangère algérienne : universalité, Etat solidaire, justice sociale, souveraineté, etc. L’Algérie est la principale puissance en Afrique du Nord. Lancer un plan de 240 milliards d’euros sur quatre ans en est un signe. Cette puissance est mise au service de la souveraineté. L’Algérie est pratiquement le seul pays d’Afrique qui maîtrise l’investissement étranger avec la règle du 51/49 contenu dans son code. Il y a également le contrôle strict sur le transfert des profits.
    L’Algérie a trouvé là le moyen de négocier avec les multinationales, avec les maîtres du monde et les maîtriser. Ces firmes ne cherchent qu’à maximiser les profits. Nestlé n’est pas la Croix-Rouge ! Je vis dans le cœur du monstre à Genève au milieu de ces multinationales et je sais de quoi je parle. Au Nigeria, Esso et Texaco dictent leurs lois. L’Algérie est le onzième producteur de pétrole membre de l’OPEP. Le Nigeria produit plus. Prenez ces deux exemples. Le Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique et qui sort 2,2 millions de barils de pétrole par jour, est sous les ordres des multinationales.
    En Algérie, Sonatrach dicte sa loi aux firmes pétrolières étrangères pour travailler. Donc, il y a une notion de souveraineté totale. Au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, l’Algérie joue un grand rôle en présidant le groupe afro-arabe. Les diplomates algériens donnent le ton au sein de ce groupe en défendant les intérêts des pays du Sud. Bouteflika, qui a été ministre des Affaires étrangères, est l’un des hommes d’Etat du tiers monde qui a une parfaite connaissance des mécanismes compliqués du système onusien. Driss Djazaïri, Mohamed Salah Dembri et Lakhdar Ibrahimi sont des diplomates connus.

    -Pour revenir sur les mesures sur l’investissement, des pays européens, tels que la France et l’Allemagne, ont critiqué ces dispositions…
    Les multinationales veulent avoir le champ libre. Elles ne l’ont pas en Algérie. L’actuelle classe dirigeante française n’a jamais pardonné l’indépendance de l’Algérie. On ne se rend pas compte encore du traumatisme causé aux Européens. Il y avait la défaite de Diên Biên Phu, mais le Viêtnam est loin de leur monde. Le Maghreb est dans le même monde, et c’est là que ces Européens ont été radicalement contestés. La victoire de l’Algérie a ouvert la voie à la décolonisation en Afrique.

    -L’instabilité au Sahel n’aide-t-elle pas les anciens empires à se réveiller ?
    La situation au Sahel est dangereuse. L’Algérie est effectivement indépendante et montre l’exemple. L’Algérie ne fait pas partie de la francophonie. Souverain donc, ce pays doit être saboté. Je ne sais pas qui finance El Qaîda et qui est derrière. Mais il me semble évident qu’il est de l’intérêt de l’Occident d’affaiblir l’Algérie. Al Qaîda est au cœur du Sahel. Qui sait, demain ils iront attaquer les champs pétroliers de Hassi Messaoud…

    -Ces groupes sont-ils manipulés ?
    Je le pense oui. Sociologiquement, il existe un terreau avec l’appauvrissement des Touareg, le racisme noir contre les Touareg, etc. Les gouvernements n’ont pas tenu leurs promesses, la misère est toujours là. Ces groupes se financent par les rançons payées contre la libération des otages. Les Européens négocient et payent. Pour l’Algérie, cela crée des problèmes puisque ces groupes ont plus de possibilités de s’armer. Si vous payez 5 millions d’euros pour les otages, comme l’ont fait les Espagnols, cela devient un commerce alimenté par les Européens (…) La Suisse refuse d’extrader les islamistes recherchés par mandat international parce qu’elle ne veut pas provoquer ceux qui ont déposé des fonds dans les banques.
    L’économie suisse dépend énormément des banques. La Suisse est le deuxième pays le plus riche de la planète avec le revenu par habitant. Ce pays, qui n’a pas de matière première, vit de l’argent d’autrui (…) Je n’ai pas les moyens de confirmer que l’Occident finance les groupes terroristes, mais je peux dire que certaines puissances occidentales ne seront pas mécontentes d’affaiblir l’Algérie. L’Algérie, dans tous les pays du Sud, est une épine, un pays qu’on ne peut pas mettre à genoux. C’est «le mauvais» exemple pour les autres. Imaginez que demain le Niger reprenne les gisements d’uranium au groupe nucléaire français Areva et crée une Sonatrach nigérienne. Cela va provoquer une explosion en France des prix de l’électricité, car pour l’instant, la France ne paye presque rien. Le président Tandja, qui voulait multiplier les investissements chinois et indiens, a été écarté.

    -Le Maghreb uni en tant qu’entité économique n’est-il pas une menace pour l’Union européenne (UE) ?
    Non. L’UE est constituée de 27 pays, de 400 millions de consommateurs et de 11 000 milliards de dollars de produit intérieur brut (PIB). L’UE est une grande puissance économique qui habilement a associé les pays du Maghreb avec des accords et a créé un marché élargi. Avec le problème du Sahara occidental, le Maghreb uni, une idée merveilleuse, n’est pas possible. La Libye et l’Egypte posent aussi problème. Comme pour l’UE, les pays doivent créer un minimum commun, avoir des buts politiques et structures économiques communs…

    -En Algérie, il y un dossier de corruption lié à Sonatrach. Pourquoi la corruption est fort présente dans les pays pétroliers ?
    Pourquoi les Algériens seraient des anges !? A Genève, il existe une corruption incroyable, pourtant c’est une démocratie. Il s’agit de spéculations immobilières et les fausses factures. Partout où il y a de l’argent, il y a beaucoup de tentations. Les banquiers suisses ont pour la plupart des banques off shore aux îles Caïman pour échapper au fisc

    -Des experts parlent de «malédiction du pétrole». Le Nigeria en est le parfait exemple…
    Je mets l’Algérie à part. Il est faut dire qu’il n’existe pas de développement dans ce pays. Il y a des logements et des infrastructures qui sont en construction. Certes, il y a des problèmes sociaux, mais il y a un investissement public, pas spéculatif privé, qui est impressionnant. Je ne suis pas venu depuis huit ans en Algérie et je constate qu’il y a un développement infrastructurel remarquable. Au Nigeria, des dictatures militaires se succèdent. Dans l’index du développement humain du PNUD, le Nigeria est en bas du tableau, alors que c’est le huitième producteur mondial du pétrole. Il faut peut-être renforcer le contrôle sur les dépenses publiques, mais on m’a dit que le président Bouteflika auditionne chaque année les ministres sur les projets. Cela n’existe pas au Nigeria ou au Soudan. Aux Algériens de savoir si de telles méthodes sont efficaces ou pas.

    -L’absence de démocratie et de libertés n’aide-t-il pas le maintien des systèmes comme au Nigeria ?
    Mis à part l’Egypte, l’Afrique du Sud, l’Algérie, le Nigeria et l’Ethiopie, la majorité des 53 pays en Afrique vivent la misère sur le plan économique, surendettés et dirigés par des élites faibles. Dans ces pays, la construction nationale, durant les 50 dernières années, a été déficiente. Selon le FAO, 81 millions d’Africains étaient sous-alimentés en 1975. En 2005, ils étaient 202 millions d’Africains à être dans cette situation. La faim explose en Afrique. L’hypocrisie des Européens est totale. Ils pratiquent le dumping agricole en Afrique. Les surplus sont déversés sur les marchés de Niamey, Bamako, Dakar et d’ailleurs, et plus loin, le paysan africain s’épuise au travail et n’a aucune chance d’avoir un revenu normal parce qu’au marché, la ménagère peut acheter des légumes ou du poulet espagnols, grecs ou français à moitié prix des produits locaux. Les règles de l’OMC fonctionnent selon les intérêts des multinationales. L’OMC est une entreprise de désarmement économique des pays du tiers monde. Ce dumping empêche les pays agricoles africains, qui constituent les deux tiers du continent, d’acquérir le minimum vital qui permet ensuite le développement de la démocratie. Brecht a dit : «L’affamé ne peut pas manger un bulletin de vote.» De l’autre côté, les Occidentaux se plaignent de l’absence de démocratie et des atteintes aux droits de l’homme en Afrique noire, alors que absence de démocratique est le résultat de la surexploitation économique pratiquée par ce même Occident. ..

    -Quelles leçons peut-on retenir de la dernière crise financière internationale ?
    Le 22 octobre 2008, les 15 chefs d’Etat des pays de la zone euro se sont réunis à Paris et ont décidé de libérer 1700 milliards d’euros pour remobiliser le crédit interbancaire et pour augmenter de 3 à 5% le plancher d’auto- financement des banques. C’est une somme énorme utilisée pour sauver les bandits de la finance ! Des bandits qui ont engagé des spéculations de plus en plus risquées afin d’augmenter leurs bonus. Ce banditisme a été donc honoré par les gouvernements. En Suisse, l’UBS est devenue tellement puissante qu’il était impossible pour le gouvernement de la laisser tomber en faillite.
    Le contribuable a donc payé pour ces opérations de sauvetage. Et ça continue, comme avant. Aujourd’hui, ils continuent à spéculer avec l’argent du contribuable. En Europe et aux Etats-Unis, les gouvernements ont été incapables d’exproprier les banques et d’abolir les bonus. On attend la prochaine crise ! Le Programme alimentaire mondiale (PAM) a perdu la moitié de son budget parce que les pays industriels ont arrêté leurs cotisations pour donner l’argent aux banquiers. Les repas scolaires ont été supprimés dans plusieurs pays par le PAM. Au Bangladesh, c’est une véritable catastrophe.
    Les spéculateurs de Wall Street sont des assassins. Ils font mourir des gens dans le tiers monde. «Quand les riches maigrissent, les pauvres meurent», a dit un écrivain français. Selon la banque mondiale, 162 millions de personnes dans le monde se sont ajoutées à celles qui souffrent de la faim en raison de la crise financière mondiale. Il faut créer un tribunal de Nuremberg (crime contre l’humanité, ndlr) pour les bandits bancaires.

    -Existe-t-il un lien entre cette crise financière et la multiplication des conflits actuellement ?
    L’Amérique est la première puissance économique. Presque 25% des biens industriels fabriqués dans le monde sont l’œuvre des Américains, alors qu’ils ne sont que 300 millions. La matière première de cette formidable machine industrielle est le pétrole. Elle utilise 20 millions de barils de pétrole par jour, alors que la production mondiale est de 85 millions de barils par jour. Huit de ces 20 millions de barils sont produits entre l’Alaska et le Texas, le resté est importé de régions dangereuses, telles que le Delta du Niger, l’Asie centrale, le Moyen-Orient. Cela force les Américains à maintenir la plus gigantesque armada que le monde n’a jamais connue. Donald Rumesfeld (ancien secrétaire à la Défense, ndlr) avait dit que les Etats-Unis doivent être capables de mener quatre guerres en même temps.
    Les Etats-Unis soutiennent Israël pour contrôler le monde arabe et l’Iran. Si l’Arabie Saoudite, principal fournisseur des Etats-Unis en hydrocarbures, change de stratégie, il sera ciblé par Israël. La guerre D’Irak est une guerre du pétrole. L’Irak a les deuxièmes réserves de pétrole au monde avec 13 milliards de barils avec une faible teneur en souffre. Les pipes lines entre la mer Noire et l’océan Indien passent par l’Afghanistan. La guerre d’Afghanistan a également une motivation économique directe. Marx disait que «le capitalisme porte en lui la guerre, comme le nuage porte l’orage». Il y a une logique contraignante, si vous dépendez du pétrole étranger, vous devriez assurer et contrôler les sources d’approvisionnement.

    -Avez-vous des projets d’écriture ?
    Tout ce dont je vous parle ici fait l’objet d’un livre que j’ai écrit, La Franceidentitaire, pour lequel je cherche un éditeur. Pour la première fois en 25 ans de publication, j’éprouve des difficultés à publier pareil ouvrage sur la montée de l’islamophobie en France. Je ne sais pas pourquoi. Il paraît que c’est la crise...


    Jean Ziegler, né le 19 avril 1934 en Suisse, est un homme politique, sociologue et écrivain. Il fut le rapporteur spécial pour le droit à l’alimentation du Conseil des droits de l’homme de l’ONU de 2000 à 2008. Il est actuellement membre du comité consultatif du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Il est l’auteur de plusieurs livres sur la mondialisation et sur ce qu’il considère être des crimes commis au nom de la finance mondiale et du capitalisme.






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